L’homéopathie existe depuis déjà plus de 200 ans, et comme tout ce qui dure dans le temps, cette thérapeutique a reçu sa juste part de louanges et de critiques au fil des années…
Tout a débuté avec le médecin Samuel Hahnemann, connu aussi comme le père fondateur de l’homéopathie, alors qu’il souhaitait mettre au point un traitement qui soit différent de ce qui se faisait à l’époque. En d’autres termes, il voulait trouver un traitement qui soit plus respectueux de l’humain. Aujourd’hui, on considère ses recherches comme étant à l’origine des principes de base de l’homéopathie.
Cette thérapeutique a cependant bien évolué depuis l’époque d’Hahnemann et a gagné en popularité autant parmi les patients que les praticiens de la santé.
L’homéopathie est devenue une médecine de choix pour des millions de patients et de parents à travers le monde.
En effet, cette thérapeutique est utilisée par plus de 50% de la population en France, faisant d’elle la médecine « alternative » la plus populaire.[1]
Ces individus font donc le choix de se tourner vers des médicaments complémentaires de source naturelle pour soigner leurs maux communs, ainsi que ceux de leurs enfants.
On compte en France, 70% des médecins ouverts à l’homéopathie[2] et 94.5% de pharmaciens conseillant des médicaments homéopathiques aux femmes enceintes.[3]
Boiron est fier de collaborer avec de nombreux praticiens de la santé à travers le monde tels que les médecins, les pharmaciens, les homéopathes, les infirmiers, les naturopathes et beaucoup plus encore. Ces professionnels comptent sur nos médicaments homéopathiques pour aider au rétablissement de leurs patients – et nous ne prenons pas cela à la légère. Les retours du terrain nous indiquent que de plus en plus d’oncologues encouragent leurs patients à prendre des médicaments homéopathiques pour soulager les effets indésirables de leurs traitements. De plus, lors d’une chirurgie reconstructive, correctrice ou esthétique, plusieurs chirurgiens américains et canadiens recommandent la gamme Arnicare de Boiron pour aider à atténuer les ecchymoses, les œdèmes et la douleur après une intervention. Ces praticiens de la santé reconnaissent le rôle bénéfique de l’homéopathie non pas comme une médecine alternative mais plutôt comme une médecine intégrative lorsqu’utilisée en traitement de support.
Et nous sommes tout à fait en phase ! Ce n’est pas une médecine contre une autre ; nous devrions ainsi travailler à trouver la meilleure combinaison possible pour répondre aux besoins de santé propres à chaque patient.
Avec 85 ans d’expertise en fabrication de médicaments homéopathiques, nous sommes convaincus qu’une telle approche est favorable pour le patient dans le but d’améliorer son état de santé. De cette manière, cela réduit sa consommation de préparations chimiques indésirables et diminue la pression exercée sur son système de santé. Enfin et surtout, cette approche respecte le droit pour chaque Canadien de choisir la médecine qui convient le mieux à ses besoins.
En fin de compte, la critique nous est secondaire. L’essentiel pour nous est de répondre aux besoins de près de 3 millions de Canadiens qui utilisent l’homéopathie de manière régulière, mais aussi à ceux des 300 millions d’utilisateurs à travers le monde et des 400,000 praticiens de la santé qui la recommandent.[4]
Je vous souhaite un bel automne en santé.
Daniel Dereser
Président Directeur Général chez Boiron Canada
[1] Étude Ipsos 2015 menée du 5 au 11 janvier 2012 auprès de 1212 individus
[2] http://www.huffingtonpost.com/dana-ullman/homeopathic-medicine-euro_b_402490.html
[3] Damase-Michel, C., Vie, C., Lacroix, I., Lapeyre-Mestre, M., Montastruc, J.L. Drug Counselling in Pregnancy: An Opinion Survey of French Community Pharmacists, Pharmacoepidemiol Drug Saf. 2004 March, 18;13(10):711.